Claire Chesnier, « Revoilement » ( fr | en )
La peinture inscrit son corps dans une double fragilité : celle de la porosité du papier et de la fluctuation des encres d’une part, celle du retrait de la touche et de l’avancée du « geste de la couleur »
Marc Lenot, « Claire Chesnier » ( fr | en )
Claire Chesnier montre de grandes formes aux lisières du monochrome, pures, voire ascétiques, où l’encre a imbibé le papier par capillarité, y laissant des ombres, des traces, d’imperceptibles variations, fruit d’une alchimie persistante
Jean-Christophe Arcos, « Claire Chesnier» ( fr | en )
Déployée dans un lexique de figures abstraites en augmentation permanente, l’œuvre de Claire Chesnier frappe d’abord par la pureté des formes et la rigueur du protocole
Mathieu François du Bertrand, « Atelier d’artiste, Claire Chesnier » ( fr )
Formée à l’école des beaux-arts de Paris, Claire Chesnier a développé une peinture très singulière dont l’un des aspects les plus frappants semble celui de rappeler la peinture à sa vocation première
Léa Bismuth, « Claire Chesnier » ( fr | en )
Depuis cinq ans, Claire Chesnier obéit à une contrainte qu’elle s’est donnée : elle se contente de faire apparaître une forme colorée aux contours nets dans l’espace blanc de la feuille de papier
Laurent Boudier, « Claire Chesnier » ( fr )
Depuis quelques temps, Claire Chesnier va vers une peinture dont la seule limite est le bord : all over dont les séquences renforcent le pouvoir visuel, super kidnapping de l’œil vers une pleine immersion de la couleur